Une femme achète une boîte pour 2,50 €, et en l’ouvrant, elle pâlit.

Dresde - Christine n’en croyait pas ses yeux lorsqu’elle a récemment ouvert une jolie boîte qu’elle avait découverte dans un magasin d’occasion.

Christine secoua la tête, choquée.
Christine secoua la tête, choquée.  © Bildmontage: TikTok/Screenshot/pristinechristine7 (2)

Elle sortit immédiatement son téléphone et enregistra une vidéo pour son compte TikTok . Elle ne voulait absolument pas garder cette découverte pour elle-même.

Mais qu’est‑ce qui a réellement semé une telle terreur dans l’esprit de l’Américaine ?

Dans le court clip, Christine explique qu’elle a acheté la boîte pour le modeste prix de 2,99 $ US (environ 2,54 €), mais qu’elle n’a jamais pu l’ouvrir depuis.

Elle n’a eu d’autre choix que de prendre un tournevis et d’enlever le fond de la boîte. Ce qu’elle a découvert a alors glacé son sang.

« Alors j’ouvre cette boîte et il n’y a que les restes de quelqu’un à l’intérieur », a déclaré Christine, encore pâle, le nez rouge, en fixant la caméra avec horreur.

« J’ai donc acheté l’urne de quelqu’un », murmura-t-elle en secouant la tête, « pour 2,99 $ US. »

Sur TikTok, l’utilisatrice Christine a partagé sa trouvaille insolite dans un magasin d’occasion.

Christine ne sait pas quoi faire de l'urne – peut‑elle la garder à des fins décoratives ?

La boîte ne coûtait que 2,99 USD (environ 2,54 €).
La boîte ne coûtait que 2,99 USD (environ 2,54 €).  © TikTok/Screenshot/pristinechristine7

Et pourtant, la boîte ne devrait servir qu’à la décoration dans l’appartement de Christine. Elle ne sait pas encore quoi faire de la cendre.

Elle a donc désespérément demandé de l’aide aux spectateurs du clip : « Je n’aurais jamais pensé trouver quelque chose comme ça. Que feriez‑vous avec ? »

Alors que la plupart des utilisateurs ont simplement réagi avec horreur, deux d’entre eux étaient d’accord : Christine devrait absolument garder la boîte.

« Je préfère qu’elle finisse comme objet décoratif dans une maison étrangère plutôt que sur une étagère chez Goodwill [une chaîne de magasins d’occasion aux États‑Unis, note de la rédaction.] », a écrit l’un d’eux. Et Christine n’a pu qu’acquiescer : « C’est exactement ce que j’ai dit à ma famille ! »