Londres (Angleterre) - Dès qu'elle l'a touché, elle a su que ce vêtement valait beaucoup plus cher que le prix demandé. Roms Mason est une chasseuse de bons plans régulière à Londres dans les nombreux magasins de seconde main. Mais cette fois-ci, même elle a été surprise par la véritable valeur du pull-over qu'elle avait récemment trouvé dans l'un des magasins.

Le haut « est super épais, donc j'ai su tout de suite que c'était de bonne qualité », a expliqué Mason cette semaine dans un entretien avec Newsweek. Pourtant, le vendeur n'en demandait que 10 livres sterling (environ 11,50 euros).

C'est surtout le designer du pull qui a conquis la Londonienne. « Jonathan Anderson est l'un des designers les plus influents de ce siècle. Son travail avec Loewe a été révolutionnaire. Je suis absolument ravie de posséder une pièce de sa marque personnelle », a-t-elle déclaré au magazine américain.

Dans une vidéo TikTok, la fashionista de la mode seconde main présente fièrement son coup de pouce. Elle y intègre également des captures d'écran d'un magasin qui demande 477 livres sterling (environ 551,70 euros) pour le haut en tricot - et dans ce cas, il a même été réduit de plus de 600 livres sterling (environ 693,50 euros).

Dans ces circonstances, la question se pose de savoir si la jeune Britannique va conserver la pièce ou la vendre avec un bénéfice important.

« Ça dépend si je le porte ou non ! Habituellement, je garde les choses environ un an, et si je ne les utilise pas souvent, je les revends à une maison plus aimante », a déclaré Mason avec une certaine réserve.

Cependant, elle n'est pas très optimiste quant à la possibilité d'obtenir un prix élevé pour son vêtement de designer.

« Le fait que le prix en magasin soit de 600 livres ne signifie pas que je puisse le vendre pour une somme approchant même de loin celle-ci », a expliqué l'Anglaise au magazine américain.

Ainsi, le pull-over devrait « survivre » au moins un an chez la chasseuse d'affaires avant d'être soumis à une nouvelle « vérification ».