Le modèle Jacky Wruck a peur et avertit : « Nous perdons notre humanité ! »
Rheingau-Taunus-Kreis - « J’ai tellement peur de ce qui va arriver », avoue le mannequin Jacky Wruck au début de son dernier Reel Instagram. À la fin, elle lance un avertissement : « Nous perdons notre humanité ! »

Elle a l’impression d’être dans la série « Black Mirror », ajoute la jeune femme de 26 ans après sa confession. La série britannique de science‑fiction explore les conséquences de la technologie et des médias sur la vie en société.
« Dans quel type de monde vivons‑nous réellement ? », complète la gagnante de l’émission de casting « Germany's Next Topmodel ».
Avec une anecdote, Jacky précise encore davantage le sujet de son propos : « Mon algorithme Instagram pense : « Tu as regardé, il y a un moment, 3,2 secondes d’une vidéo générée artificiellement, avec un hamster XXL sautant sur un trampoline : on ne te servira plus que ça ! »
« Je ne veux pas de tout ce bazar d’intelligence artificielle à ce point‑la », affirme clairement la jeune femme de 26 ans.
Enthousiaste, elle ajoute : « Je veux de l’authenticité ! Je veux des livres qui se sentent comme une chaleureuse étreinte, je veux de la musique, je veux du théâtre, je veux de la société ! Je ne veux pas être constamment joignable !
Jacky Wruck : « Nous perdons nos capacités humaines ! »

« Je suis assis dans un restaurant. Qu’est‑ce qui arrive ? Un petit robot blanc et mignon, venu nous servir », raconte Jacky comme autre exemple de la pénétration croissante des applications d’IA dans la vie quotidienne.
« Croyez‑vous vraiment que je sois prêt à donner un pourboire à un robot ? », s’interroge le modèle du district de Rheingau-Taunus, dans le sud de la Hesse de façon rhétorique.
Ensuite, l’ancienne candidate de GNTM lance un avertissement pressant : « Nous perdons notre humanité ! Nous perdons nos capacités humaines ! »
« Le voulons‑nous vraiment ? », conclut la jeune femme de 26 ans.
Sur Instagram, Jacky Wruck adopte régulièrement un ton très réfléchi. Il y a peu, elle a même demandé dans une autre vidéo : " À quel point le monde est‑il absurde, s’il vous plaît ? "